Tout savoir sur les champignons hallucinogènes

Mushroom

Dans les années 1960, avec l’avènement du tourisme psychédélique, l’utilisation des champignons hallucinogènes a dépassé le cadre des cérémonies. Actuellement disponibles dans une liste shop : shroomshop, smartshop, headshop et peppershop, les jeunes hippies leur ont donné un « usage récréatif ». Des variétés de champignons sont considérées comme magiques. Comme le cbd, elles produisent des substances genetics qui altèrent la perception, la pensée et l’humeur.

Les seeds magiques

Un genre Psilocybe a été décrit en 1957 par le mycologue français Roger Jean Heim. En 1958, le chimiste suisse Albert Hoffman a isolé pour la première fois ses composés qui produisent les effets genetics hallucinogènes : la psilocybine et la psilocine. En outre, l’Amanita muscaria contient deux substances psychoactives qui apaisent les envies : l’acide iboténique et le muscimol. La mescaline, contenue dans le peyotl, agit de manière similaire aux substances magiques des champignons psilocybe. En revanche, les cannabinoïdes contenus dans le cannabis ne produisent pas d’hallucinations.

Effets des seeds

Un kit de psilocybes produit les effets suivants : gigantisme ou altération de la perception de l’espace. Certaines hallucinations s’accompagneraient d’une tendance à éviter les objets ou les situations familières. Il y a aussi l’agoraphobie ou réticence à s’exposer dans des espaces ouverts. Le gigantisme, la néophobie et l’agoraphobie sont des effets très subjectifs et difficiles à évaluer.

Seeds pour la dépression et l’anxiété

On a attribué des propriétés psychoactives à la psilocybine et à la psilocine des champignons psilocybe, ainsi qu’à l’acide iboténique et au muscimol de l’Amanita muscaria. Récemment, des molécules fongiques dans ces seeds magiques ont été utilisées pour traiter des troubles psychiatriques, tels que la dépression et l’anxiété.

Aucun médicament n’a encore été obtenu, mais des molécules apparentées aux composés hallucinogènes sont toujours à l’étude, notamment pour traiter les problèmes mentaux.

Les graines ne provoquent-ils pas une dépendance ? Il s’agit d’une question controversée. Auparavant, les chercheurs pensaient que les graines ne provoquaient pas de dépendance parce qu’ils ne libèrent pas de dopamine. Toutefois, la culture permet de constater que les composés hallucinogènes des graines ont un effet sur le système dopaminergique. Ce qui est lié aux addictions ou aux dépendances aux drogues. Il s’agit de résultats controversés de culture qui soulignent la nécessité de poursuivre les recherches pharmacologiques et toxicologiques afin de déterminer pleinement le risque potentiel de ce kit de produits.

La dégradation des produits hallucinogènes dans l’organisme ne génère pas d’acétaldéhyde, un métabolite associé aux effets de la gueule de bois due à l’intoxication alcoolique. On considère donc que la consommation de ces catégories ne provoque pas de gueule de bois, mais seulement des hallucinations.

Faible mortalité

Les cas rapportés d’empoisonnement et de décès dus à des truffes ou graines sont exceptionnels. Elles sont donc composées de molécules sûres d’un point de vue physiologique.

Sans aucun doute, tout comme le cbd du cannabis, les champignons sur zamnesia sont une source importante de recherche chimique et pharmacologique. En effet, des variétés de truffes contiennent des substances qui peuvent avoir une application thérapeutique. Cependant, les études réalisées sur cette culture sont insuffisante. Leur utilisation doit être prise avec une certaine précaution. Le risque de surdose est qu’en plus des hallucinations, ils peuvent provoquer la peur, la panique, l’anxiété et la paranoïa. De ce fait, la culture de ces catégories est encore interdite. Mais comme mentionné au début, elles sont disponibles sur toute une liste de shop comme zamnesia, shroomshop, smartshop, headshop peppershop pour apaiser les envies.